Nous sommes tous un peu saltimbanques, un peu cigales.
Nous naviguons tous d’une émotion à une autre, d’un rire à une larme, d’une douleur à une peine, d’une pensée à une parole, d’un regret à un autre.
Nous racontons tous des histoires.
Tous.
Pour réveiller notre sommeil, pour laisser des traces, pour se raconter le bonheur, l’amour.
Nous voyageons tous d’un lieu à un autre.
Nous doutons tous.
Les Cigales d’Elizabeth Mazev; des comédiennes; vont le temps d’une larme, d’une fête, d’une musique raconter des mémoires et des rêves; et finalement se dire : nous sommes bien chez nous dans nos coulisses de saltimbanques, ces coulisses qui retentissent follement de nos vies.
Nous aussi, tous, marchons sur ce fil qu’est la vie et défions l’apesanteur avec le plus de rires et de légèreté possible autant que ces belles actrices croquant avec joie dans le bonheur et le jeu.
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"Il ne faut pas avoir peur du bonheur. C'est seulement un bon moment à passer."
LES CIGALES - saison 13-14
LE REPAS DES FAUVES-SAISON 14/15
( reprise durant la saison 15/16)
1942
Dans la France occupée, sept amis se retrouvent pour fêter un anniversaire. La soirée se déroule sous les meilleurs auspices, jusqu'à ce qu'au pied de leur immeuble soient abattus deux officiers allemands. Par représailles, la Gestapo exige deux otages par appartement.
Le Commandant Kaubach, qui dirige cette opération, reconnaît, en la personne du propriétaire de l’appartement, un libraire à qui il achète régulièrement des ouvrages. Soucieux d’entretenir les rapports courtois qu'il a toujours eus avec lui, le Commandant Kaubach décide de ne passer prendre les otages qu'après la fin de la fête et leur laisse choisir entre eux les deux "volontaires".
Le repas des fauves peut commencer…
